• Grâce à la Renommée, je vivrai.

     

    Ovide

    [photo sur Deviantart]


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  • A une heure ou les mauvaises nouvelles et les espoirs se mêlent dans ma vie, je vous mets le texte de Here Today, une balade délicate et mélancolique composée par Paul McCartney après la mort de John Lennon.

     

    And If I Say I Really Knew You Well
    What Would Your Answer Be.
    If You Were Here Today.
    Ooh- Ooh- Ooh- Here To - Day.

    Well Knowing You,
    You'd Probably Laugh And Say That We Were Worlds Apart.
    If You Were Here Today.
    Ooh- Ooh- Ooh- Here To - Day.

    But As For Me,
    I Still Remember How It Was Before.
    And I Am Holding Back The Tears No More.
    Ooh- Ooh- Ooh- I Love You, Ooh-

    What About The Time We Met,
    Well I Suppose That You Could Say That We Were Playing Hard To Get.
    Didn't Understand A Thing.
    But We Could Always Sing.

    What About The Night We Cried,
    Because There Wasn't Any Reason Left To Keep It All Inside.
    Never Understood A Word.
    But You Were Always There With A Smile.

    And If I Say I Really Loved You
    And Was Glad You Came Along.

    If You Were Here Today.
    Ooh- Ooh- Ooh- For You Were In My Song.
    Ooh- Ooh- Ooh- Here To - Day



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  • Je ne sais pas ce que j'ai avec les vieux films en noir et blanc, mais souvent, allez savoir pourquoi, ils ne m'attirent pas. Même en couleur, parfois, je n'ai pas très envie de les voir. Pourtant le premier vieux film que j'ai vu m'a ébloui et laissé un souvenir impérissable. C'était Le Magicien d'Oz, mais en anglais parce que j'étais chez ma grand-mère aux Etats-Unis, et je le regardais en boucle. J'en ai d'ailleurs gardé une passion pour les ballerines rouges à paillettes. Ensuite j'ai vu et revu Psychose, de Hitchcock, qui m'a séduit par son élégance et son suspence délicat mais efficace.
    Mon troisième coup de coeur, c'était aujourd'hui.
    On a regardé Miracle en Alabama (The Miracle Worker) d'Arthur Penn. C'est le récit magnifique de l'enfance d'Helen Keller, enfermée dans sa surdité et sa cécité depuis ses 18 mois, que l'arrivée d'un professeur, Annie Sullivan, va permettre d'ouvrir au monde. Le film décrit avec justesse et une touche d'expressionisme la dure mission d'Annie pour éduquer et aimer une enfant enmurée en elle-même, et pourtant si intelligente.
    Je vous le conseille, même si c'est un vieux film, surtout si c'est un vieux film diront certains, parce que c'est une belle expérience d'assister à l'ouverture de cette jeune fleur qu'est Helen, et parce que c'est au fond une belle leçon sur le langage, l'éducation et l'amour.

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  • "Un peu de philosophie, c'est dangereux, parce qu'on détruit, mais beaucoup, c'est bien, parce qu'on reconstruit."

    Michel Onfray 


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  • Je ne sais pas si c'est les oignons ou quoi...

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