• Il y a des trains qui arrivent à l'heure.
    Il y a des écoliers heureux, des étudiants aussi.
    Il y a des gens qui travaillent avec plaisir - ceux qui ont du travail.
    Il y a des chercheurs qui trouvent. (ndlr : ma maman !)
    Il y a des gens des villes qui aiment les vacances en Bretagne.
    Il y a des oaysans qui joignent les deux bouts et des commerçants qui gardent le sourire.
    Il y a des fonctionnaires dévoués au bien public et des bénévoles qui emploient leur temps libre à l'entraide.
    Il y a des gendarmes paisibles et des agents de police courtois.
    Il y a des militaires pacifiques et des soldats qui ne s'ennuient pas.
    Il y a des entreprises qui marchent.
    Il y a des comédies qui finissent bien, des films qui ne sont pas noirs et des romans qui ne poussent pas au suicide.
    Il y a du soleil de temps en temps.

    (J.Planchais)

    Méfiez-vous des rêves de jeunesse, ils finissent toujours par se réaliser.

    (Goethe)

    Ne blâme pas Dieu
    D'avoir créé le tigre.
    Remercie-le plutôt
    De ne pas lui avoir donné
    Des ailes.

    (Sagesse hindoue)


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  • A quoi ça sert de fuir ?

    "The farther where I try to hide, the deeper I feel this emptyness inside..."


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  • Regardez ce texte (ou plutôt lisez-le !). Je l'ai écrit en essayant de pouvoir remplacer le personnage inconnu par :

    1) un nounours

    2) un homme

    3) un papa

    4) un dentiste (nan j'déconne)



    Jeanne rentre chez elle. La soirée est terminée, la nuit même commence
    à faiblir dans son combat contre le jour. La clarté va bientôt
    apparaitre tandis qu'en Jeanne monte cette vague habituelle quand elle
    le quitte, la vague de la solitude. Un des seuls sentiments qui puisse
    submerger son île intérieure, pourtant protégée par mille remparts.
    Mais quand le tsunami arrive, elle ne peut plus rien faire...

    C'est dingue, il lui manque. Il lui manque déjà, c'est fou, elle était
    encore à côté de lui il y a deux minutes. Après avoir fermé le portail
    et commencé son ascension de la rue, elle a senti ce besoin vital :
    aller vers lui, à tout prix, le toucher, recevoir un regard, un
    sourire, une présence, et tout de suite se sentir mieux, en sécurité,
    paisible. Tout de suite sentir les nuages se dissiper et faire place au
    soleil timide caché derrière. Et tout illuminer, chaque parcelle de son
    être. Se sentir terriblement bien, et souffrir de devoir quitter cet
    état de sérénité. Et souffrir de devoir le prêter à d'autres, de le
    voir rire et regarder une étrangère, alors que c'est elle qui a besoin
    de lui. Jeanne connait ce sentiment, il revient de plus en plus
    souvent, comme s'il gagnait petit à petit du terrain sur son coeur.
    Mais Jeanne garde tout pour elle, en attendant qu'il sache à quel point
    il est important pour elle et à quel point jamais il ne faudra la
    laisser tomber.

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  • C'était la super formule, en primaire, quand on commençait à inventer un jeu. Pour le coup, on maniait le conditionnel passé avec brio (c'était le seul moment d'ailleurs).
    Alors maintenant à mon tour je vais inventer un jeu...

    On aurait dit que la mort n'existerait pas,
    On aurait dit que les gens étaient tous gentils,
    On aurait dit que j'étais toujours gentille avec ceux que j'aime,
    On aurait dit que je serais tous les jours belle,
    On aurait dit que j'arriverais à aimer,
    On aurait dit que je n'en aurais plus peur,
    On aurait dit que j'aurais pas de problèmes de machoire qui claque,
    On aurait dit que tout le monde serait heureux,
    On aurait dit que je serais toujours classe et élégante,
    On aurait dit que je serais une artiste, ou une grande écrivain,
    On aurait dit que tout le monde m'aimerait,
    On aurait dit que j'arriverais à avoir de super longs cheveux trop beaux,
    On aurait dit que mes yeux lanceraient toujours des regards brûlants,
    On aurait dit que je serais jamais malade,
    On aurait dit que je me sentirais jamais seule,
    On aurait dit que j'arriverais plein de choses que j'essayais,
    On aurait dit que yaurait jamais de dangers nulle part,
    On aurait dit que j'aurais même pas besoin de faire des listes comme ça avec des "on aurait dit"...

    Evidemment ce jeu n'existe pas ^^ Mais on peut toujours rêver...
    (You may say I'm a dreamer, but I'm not the only one !)


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  • Et voici un dessin, une pub d'Estée Lauder que j'ai copiée tout à l'heure...

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